9 militants de Greenpeace, qui s’étaient introduits par effraction dans diverses centrales nucléaires pour montrer leur facilité d’accès, sont jugés aujourd’hui à Troyes.
Souvenez-vous, le 5 décembre dernier, 9 militants de Greenpeace rentraient par effraction dans diverses centrales nucléaires françaises, histoire d’en démontrer les failles et la facilité d’accè, notamment à Nogent-sur-Seine.
Ils sont jugés aujourd’hui devant le tribunal correctionnel de Troyes, pour violation de locaux professionnels et dégradations en réunion. Ils encourent une peine de 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende…
5 des prévenus ont également refusé de se soumettre à un prélèvement ADN, un délit passible de 15 000 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement… Vous avez dit disproportionné ? (source : Europe 1).